Les erreurs qui font refuser un financement à Bordeaux

Voici les plus redoutables, celles qui font dire aux banques :
« Merci pour votre intérêt, mais non merci. »

Et surtout : comment les éviter.

1. Les relevés bancaires façon montagnes russes

Si vos comptes passent de +800 € à –200 €, puis à +50 €, puis –80 €,
la banque ne voit pas quelqu’un de dynamique.
Elle voit quelqu’un qui vit dangereusement.

Les banques adorent l’adrénaline… mais uniquement sur Netflix.
Pas sur vos relevés.

Trois mois de gestion propre peuvent sauver un dossier entier.
C’est la première chose qu’on corrige avec vous.

2. Oublier qu’un découvert n’est pas une décoration

Beaucoup pensent qu’un petit découvert,
« c’est pas grave, tout le monde en a ».

Pas à Bordeaux.
Les banques bordelaises considèrent le découvert comme un signal de fumée :
quelque chose ne va pas.

Un mois, ça passe.
Trois mois, c’est un refus quasi assuré.

3. Déposer son dossier dans 8 banques “pour voir”

C’est une erreur mortelle.
Chaque demande crée une trace informatique.
Pour la banque suivante, cela ressemble à :
« Bonjour, voici la preuve que personne ne veut financer mon projet. »

À éviter absolument.
Nous sélectionnons pour vous les banques qui accepteront réellement votre dossier.

4. Présenter un projet qui n’a aucune cohérence

Exemples réels :

• loyer à 580 €, mensualité future à 1 480 €,

• achat d’une maison de 140 m² pour une personne seule en télétravail,

• acheter à Caudéran sans connaître le prix du marché,

• 5 crédits conso et un projet "mais je vous promets que j'arrête".

Ce n’est pas le projet qui pose problème.
C’est la cohérence.

Être réaliste, c’est être finançable.

5. L’apport sorti du chapeau 48 heures avant

Mettre sur la table un apport “qui apparaît miraculeusement” inquiète les banques.
L’argent magique fonctionne pour les influenceurs, pas pour les établissements bancaires.

Un apport doit être :

• connu,

• justifié,

• expliqué.

Nous vérifions et structurons tout cela à l’avance.

6. Les achats compulsifs qu’on espère invisibles

Les banques lisent tout.
Absolument tout.

Elles voient :

• les 180 € de food delivery,

• les 90 € de vêtements toutes les semaines,

• le paiement au casino en ligne,

• les virements “on verra plus tard”.

Ces détails cassent un dossier qui était presque parfait.

Nous savons comment préparer trois mois de gestion impeccable.

7. Le dossier envoyé incomplet ou brouillon

Un dossier incomplet, c’est un peu comme envoyer un CV sans nom.
La banque n’a pas le temps de deviner.

Les erreurs les plus fréquentes :

• justificatifs manquants,

• version pas à jour,

• documents illisibles,

• absence d’explication pour une situation particulière.

Un dossier clair augmente les chances de financement plus qu’un salaire un peu plus élevé.

8. Ne jamais appeler un courtier local

Il existe deux types d’acheteurs :

• ceux qui pensent qu’ils peuvent gérer seuls,

• ceux qui veulent maximiser leurs chances.

Un courtier local connaît les banques bordelaises, leurs politiques, leurs habitudes et leurs préférences.
Depuis 2015, nous savons exactement quel interlocuteur acceptera quel projet.

C’est souvent ce qui transforme un “désolé” en “accord accepté”.

Ce qu’il faut retenir

La plupart des refus ne viennent pas d’un mauvais profil,
mais d’un dossier mal monté ou mal présenté.

Les erreurs sont évitables.
Le refus aussi.
Et un accompagnement local change absolument tout.

Pour éviter les pièges et maximiser vos chances :

• Préparer un dossier solide

• Analyser vos relevés avec un expert

• Cibler les bonnes banques

• Construire une stratégie réaliste et efficace

• Bénéficier d’un rendez-vous gratuit avec CAP Financimmo